Freundliche Nachbarn und nette Besucher

Wer da glaubt, wir hätten dort am Rande des Dschungels völlig in der Einsamkeit gelebt, der irrt sich. Morgens, mit Beginn der Dämmerung wurden die Brüllaffen aktiv und machten einen solchen Lärm, dass keiner mehr schlafen konnte. Dann fingen die Hunde an zu bellen. In Costa Rica halten sich alle Leute, die ein Haus oder ein Häuschen besitzen, ob in der Stadt oder auf dem Lande, Hunde, meistens gleich mehrere.

Wenn wir früh von 7.00 Uhr bis 8.00 Uhr gefrühstückt haben, haben auch Brüllaffen und Kapuzineraffen in den hohen Feigenbäumen gefrühstückt. Am besten waren die schwarzen Brüllaffen zu beobachten, immer derselbe Clan. Kapuzineräffchen mit helibraunem Kopf sahen wir seltener. Am meisten besucht war jeden Morgen und am späten Nachmittag der dichte Fruchtbaum vor dem Eingang zu unserem Grundstück. Der Baum hing voller Früchte wie wilde, kleine Pflaumen. Waren die Affen fertig und weiter gezogen, schwirrten die Tukane in den Baum und auch ganz schwarze Vögel mit rotem Schnabel. Große Echsen auf Bäumen sahen wir nur wenige Male.

Das Fotografieren war nicht ganz einfach. Wenn sie mal aus dem dichten Blattwerk herausschauten, blieb nicht viel Zeit zum knipsen, den im Nu waren sie wieder verschwunden, um woanders wieder aufzutauchen. Das Frühstück zog sich oft lang hin.

Ganz besonders habe ich mich eines Vormittags gefreut. Ich war zu Hause geblieben. Frank war nach Cahuita gefahren, um sein Fahrrad wieder bei Josef abzugeben. Ich goss mir noch einmal Kaffee in den Pott und setzte mich auf die Veranda, um Tagebuch zu schreiben.

Plötzlich schwirrte es kurz und laut in der Luft, und ein grünes Wesen setzte sich an die Tasse. Ich guckte ganz erstaunt. Solch' ein großes Insekt! Wie aus einer anderen Welt. Auf einer grünen Tasse wäre es gut getarnt.

Und - wahrscheinlich mochten wir uns beide gern, denn die grüne Schöne - ich rede sie mal weiblich an. Sollte das nicht richtig sein, kann sie ja gleich wieder ihr Geschlecht ändern, vor allem als Grüne - leistete mir den ganzen Vormittag Gesellschaft. Dann aber flog sie auf einen Blumentopf, putzte sich kurz und schwirrte auf und davon. 

Ich machte mich zum Spanner und beobachtete sie heimlich beim Putzen. Unter ihrem breiten grünen Schutzschild hatte sie einen faszinierend filigranen Körper. Ich war so gebannt, dass ich das Fotografieren vergaß.

Voisins sympathiques et visiteurs agréables

Ceux qui pensent que nous avons vécu là, au bord de la jungle, dans une solitude totale, se trompent. Le matin, au début de l'aube, les singes hurleurs s'activaient et faisaient un tel bruit que personne ne pouvait plus dormir. Puis les chiens se mettaient à aboyer. Au Costa Rica, tous les gens qui possèdent une maison ou une petite maison, que ce soit en ville ou à la campagne, ont des chiens, généralement plusieurs à la fois.

Lorsque nous prenions notre petit déjeuner tôt, de 7 heures à 8 heures, les singes hurleurs et les singes capucins prenaient aussi leur petit déjeuner dans les grands figuiers. Les singes hurleurs noirs étaient les plus faciles à observer, toujours le même clan. Nous avons vu plus rarement des singes capucins à la tête brun héliaque. Le lieu le plus fréquenté chaque matin et en fin d'après-midi était l'arbre à fruits dense devant l'entrée de notre propriété. L'arbre était plein de fruits comme des petites prunes sauvages. Lorsque les singes avaient terminé et étaient repartis, les toucans s'engouffraient dans l'arbre, ainsi que des oiseaux tout noirs au bec rouge. Nous n'avons vu que quelques fois de gros lézards dans les arbres.

Il n'a pas été facile de les photographier. Lorsqu'ils sortaient de l'épais feuillage, il n'y avait pas beaucoup de temps pour les prendre en photo, car ils disparaissaient en un clin d'œil pour réapparaître ailleurs. Le petit-déjeuner était souvent long.

Un matin, je me suis particulièrement réjoui. J'étais resté à la maison. Frank était parti à Cahuita pour rendre son vélo à Josef. J'ai versé une nouvelle fois du café dans mon pot et je me suis assis sur la véranda pour écrire mon journal.

Soudain, l'air s'est mis à bourdonner brièvement et bruyamment, et une créature verte s'est assise sur la tasse. J'ai eu l'air très étonné. Un si gros insecte ! Comme s'il venait d'un autre monde. Sur une tasse verte, il serait bien camouflé.

Et - probablement que nous nous aimions bien tous les deux, car la belle verte - je l'appelle une femme. Si ce n'est pas correct, elle peut tout de suite changer de sexe, surtout si elle est verte, elle m'a tenu compagnie toute la matinée. Puis elle s'est envolée sur un pot de fleurs, s'est nettoyée brièvement et s'est envolée. 

Je me suis transformé en voyeur et l'ai observée en cachette pendant qu'elle faisait son ménage. Sous son large bouclier vert, elle avait un corps filigrane fascinant. J'étais tellement captivé que j'en ai oublié de prendre des photos.

Traduit avec DeepL.com (version gratuite)

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