Strände an der Karibik

Am Dienstag, dem 19. Dezember 2024 fahren wir mit den ausgeliehenen Rädern nach Cahuita. Wir wollen den Ort etwas näher erkunden und uns nach Reisebüros umschauen. Wir wissen nämlich noch nicht, wie wir nach einigen Tagen zu unserem nächsten Ziel, nach Tortuguero reisen können. Die Fahrt dorthin soll wohl etwas anders sein, weil ab Puerto Limón nur Lanchas als Taxis auf den Kanälen und Flüssen fahren.

Wir haben Glück. In einem Reisebüro machen wir Bekanntschaft mit einer jungen, netten Venezolanerin, die dieses Büro führt. Bei ihr können wir die Fahrt nach Tortuguero buchen. Auch die Buchung für die spätere Weiterfahrt von Tortuguero nach La Fortuna ist bei ihr möglich. Das beruhigt uns sehr.

Guter Laune radeln wir weiter zum Eingang in den Nationalpark, der sich am Rande des Karibikstrandes entlang zieht. Eintritt ist nicht zu zahlen. Es wird um eine Spende gebeten. Wir geben jeder 5,- Dollar. Parallel zum Strand zieht sich ein Wanderweg durch den Wald entlang. Der Strand ist schmal und sehr lang. Wir gehen nicht ins Wasser. Ich laufe auf dem Weg. Frank macht eine Strandwanderung. Nach einer Stunde kommen wir wieder zusammen und beschließen zurück zu laufen. Tiere haben wir kaum beobachten können, weil bereits viele Besucher durch den Park laufen oder im Meer baden, obwohl rote Fahnen wegen dem hohen Wellengang gehisst sind.

Auf dem Rückweg machen wir Bekanntschaft mit einer chilenischen Familie. Alle schauen in die Höhe. Sie haben im Wipfel eines Baumes ein Faultier entdeckt. Wir tauschen mit den Südamerikanern einige Eindrücke und Gedanken aus und gehen aus den Park hinaus. In dem großen offenen Restaurant gegenüber dem Eingang essen und trinken wir etwas. Anschließend fahren wir mit den Rädern wieder die 7 km lange, steinige Straße zurück zu unserer Casa Siri. Unterwegs rutscht mir die Lenkstange nach unten. Das Fahren mit diesem alten Schinken ist damit für mich zu Ende.

Einige Tage später, am 27. Dezember,  nehmen wir den Linienbus nach Puerto Viejo in der Hoffnung, dort noch schönere Strände zum Baden zu finden. Puerto Viejo ist ein voll auf den Tourismus ausgerichteter Badeort mit Restaurants, Bars und vielen Geschäften. Reggae-Musik belebt das Karibik-Flair des Ortes.

Wir frühstücken erst einmal in Ruhe: Café´ con Leche (Milchkaffee) und gefüllte Croissants. In einem Geschäft kaufen wir eine große dunkle Decke mit einem schönen gelben Buddha in der Mitte. Diese Decke wollen wir am Strand ausbreiten uns drauflegen, damit wir nicht so viel Sand an uns zu kleben haben.

Mit einem Tucktuck (Dreirad mit Kabine, offen, Fahrer vorne und zwei Sitze hinten für die Gäste) fahren wir vormittags zu einem Strand, sehr schön, an dem aus dem Hinterland ein kleiner Fluss mündet. Am Ufer legen wir unsere Sachen ab. In den weißen Sand breiten wir unser Tuch aus und gehen schwimmen. Ziemlich lange bleiben wir im Wasser. Draußen legen wir uns auf das schöne Tuch, um voll die Sonne zu genießen.

Nach einer Weile schaut mich Frank von der Seite an: "Wie siehst Du denn aus! Du bist ja ganz gelb." Die gelbe Farbe ging erst wieder beim Duschen in der Casa Siri ab.

Dann bemerken wir, dass die Flut eingesetzt hatte. Das Meereswasser strömt in die Flussmündung. Meine Jeans am Boden sind bereits nass. Jetzt beibt uns nichts weiter übrig, als noch eine halbe Stunde zu bleiben, damit die Hose, aufgehängt auf einem Ast, nicht mehr tropft.

Das war der erste schöne Strand, an dem wir gut zu Mittag essen konnten.

Wieder mit dem Tucktuck, mit dem netten Fahrer hatten wir die Zeit ausgemacht, wann er uns abholen sollte, fahren wir zum nächsten Sonnenstrand. Dort bleiben wir sin problemas bis zum Nachmittag und kehren mit dem Linienbus wieder zurück nach Cahuita. 

Ich ging als erster unter die Dusche.

Plages aux Caraïbes

Le mardi 19 décembre 2024, nous partons pour Cahuita avec les vélos que nous avons loués. Nous voulons explorer un peu plus le village et chercher des agences de voyage. En effet, nous ne savons pas encore comment nous pourrons nous rendre à notre prochaine destination, Tortuguero, après quelques jours. Le trajet pour s'y rendre doit être un peu différent, car à partir de Puerto Limón, seules des lanchas font office de taxis sur les canaux et les rivières.

Nous avons de la chance. Dans une agence de voyage, nous faisons la connaissance d'une jeune et gentille Vénézuélienne qui tient cette agence. C'est auprès d'elle que nous pouvons réserver notre voyage vers Tortuguero. Elle nous permet également de réserver la suite du voyage de Tortuguero à La Fortuna. Cela nous rassure beaucoup.

De bonne humeur, nous continuons à pédaler jusqu'à l'entrée du parc national, qui s'étend au bord de la plage des Caraïbes. Il n'y a pas d'entrée à payer. Il est demandé de faire un don. Nous donnons 5 dollars chacun. Parallèlement à la plage, un sentier de randonnée s'étire à travers la forêt. La plage est étroite et très longue. Nous n'allons pas dans l'eau. Je marche sur le chemin. Frank fait une randonnée sur la plage. Au bout d'une heure, nous nous retrouvons et décidons de rentrer à pied. Nous n'avons guère pu observer d'animaux, car de nombreux visiteurs se promènent déjà dans le parc ou se baignent dans la mer, bien que des drapeaux rouges soient hissés en raison de la forte houle.

Sur le chemin du retour, nous faisons la connaissance d'une famille chilienne. Tous regardent en l'air. Ils ont découvert un paresseux au sommet d'un arbre. 

 Nous échangeons quelques impressions et pensées avec les Sud-Américains et sortons du parc. Nous mangeons et buvons dans le grand restaurant ouvert en face de l'entrée. Nous reprenons ensuite nos vélos pour parcourir les 7 km de route caillouteuse qui nous ramènent à notre Casa Siri. En chemin, le guidon glisse vers le bas. Pour moi, c'est la fin de la conduite de ce vieux tacot.

Quelques jours plus tard, le 27 décembre, nous prenons le bus de ligne pour Puerto Viejo dans l'espoir d'y trouver des plages encore plus belles pour nous baigner. Puerto Viejo est une station balnéaire entièrement tournée vers le tourisme, avec des restaurants, des bars et de nombreuses boutiques. La musique reggae anime l'ambiance caribéenne du lieu.

Nous prenons d'abord notre petit-déjeuner en toute tranquillité : café' con leche (café au lait) et croissants fourrés. Dans un magasin, nous achetons une grande couverture sombre avec un beau bouddha jaune au milieu. Nous voulons étaler cette couverture sur la plage et nous coucher dessus pour ne pas avoir trop de sable sur nous.

Avec un tucktuck (tricycle avec cabine, ouvert, conducteur à l'avant et deux sièges à l'arrière pour les invités), nous nous rendons le matin à une plage, très belle, où se jette une petite rivière venant de l'arrière-pays. Sur la rive, nous déposons nos affaires. Dans le sable blanc, nous étendons notre serviette et allons nous baigner. Nous restons assez longtemps dans l'eau. Dehors, nous nous allongeons sur la belle toile pour profiter pleinement du soleil.

Au bout d'un moment, Frank me regarde de côté : "Comment ça va ? Tu es tout jaune". Ce n'est qu'en prenant une douche à la Casa Siri que la couleur jaune est repartie.

Nous remarquons alors que la marée a commencé. L'eau de la mer se déverse dans l'embouchure du fleuve. Mes jeans au sol sont déjà mouillés. Il ne nous reste plus qu'à rester encore une demi-heure pour que le pantalon, accroché à une branche, ne goutte plus.

C'était la première belle plage où nous pouvions bien déjeuner.

De nouveau en tucktuck, avec le gentil chauffeur nous avions convenu de l'heure à laquelle il devait venir nous chercher, nous partons pour la prochaine plage de soleil. Nous y restons sin problemas jusqu'à l'après-midi et retournons à Cahuita avec le bus de ligne. 

J'ai été le premier à prendre une douche.

Traduit avec DeepL.com (version gratuite)