Weiterfahrt von Tortuguero nach La Fortuna

Sonnabend, den 06. 01. 2024. Um 7.30 Uhr kommt Miguel mit seinem Fahrrad-Transporter, um unser schweres Gepäck zum Embarcadero (Anlegestelle) zu bringen. Wir haben noch ene Stunde zeit bis zur Abfahrt nach Pavona. Frank trifft sich mit Arelis. Als Geschäftsführerin des Hotel-und-Tourismus-Unternehmens hat sie sich viel um uns gekümmert, und wir haben mit ihr Freundschaft geschlossen. Beide kommen zum Embarcadero, wo ich warte und auf das Gepäck achte. Arelis bestellt für uns Kaffee. Jorby, mit dem wir uns viel und oft im Restaurant unterhalten hatten, bringt ihn zu uns. Der abschied ist herzlich. Arelis telefoniert mit einer Kollegin in La Fortuna und kündigt uns bei ihr an. Sie kann uns in La Fortuna bei der Organisation unserer Exkursionen helfen.

Dann fahren wir wieder eine Stunde lang in einer voll beladenen Lancha nach Pavona, den Umsteigeplatz vom Wasser auf die Straße. In die Lancha ist Wasser eingedrungen und durchnässt das Gepäck von unten. Am Anlegeplatz von Pavona helfen uns Träger für ein Entgelt, die unser Gepäck den Hang hinaufbringen bis zur Gaststätte, wo sich viele Leute aufhalten, die auf Weiterfahrt warten. Zum Glück müssen wir dort nicht ewig lange sitzen, denn schon bald kommt Robert mit einem roten Taxi, der uns bis nach Cariari bringt. Dort steigen wir um in einen silberfarbenen KIA, den eine blonde Frau fährt. Ihre zwei Söhne begleiten sie. Das ist jetzt ein Uber-Dienst, preiswerter als Taxi. Wir hatten ja auch diesen Transport bereits in Cahuita gebucht.

So gegen 14.00 Uhr kommen wir in La Fortuna vor unserer neuen Unterkunft an.  In La Fortuna haben alle Straßen Nummern. Milena, die Hausherrin, empfängt uns, und bringt uns zu unserer Ferienwohnung in die obere Etage über den Dächern  des Anwesens. Zwei Zimmer mit großen Betten, ein Bad und davor die Küche in einem langen Korridor. Über dem unteren Wellblech-Dach ein Balkon mit Blick auf den Arenal, einen der aktivsten Vulkane.

Wir laufen am Nachmittag in das Zentrum der Stadt und speisen dort in einem Restaurant mit sehr guter Küche Fischfilet und Meeresfrüchte. Dabei genießen wir den Ausblick über die Straße auf den zentralen Park.

La Fortuna hat was. die Stadt ist sauber. Der Zentralpark voller Blüten und viele fröhliche junge Menschen.

Continuation de Tortuguero vers La Fortuna

Samedi 6 janvier 2024 : à 7h30, Miguel arrive avec son vélo-porteur pour transporter nos lourds bagages à l'Embarcadero (embarcadère). Nous avons encore une heure avant le départ pour Pavona. Frank rencontre Arelis. En tant que directrice de l'entreprise d'hôtellerie et de tourisme, elle s'est beaucoup occupée de nous et nous nous sommes liés d'amitié avec elle. Tous deux arrivent à l'Embarcadero, où j'attends et surveille les bagages. Arelis nous commande du café. Jorby, avec qui nous avons beaucoup et souvent parlé au restaurant, nous l'apporte. Les adieux sont chaleureux. Arelis téléphone à une collègue à La Fortuna et lui annonce notre arrivée. Elle pourra nous aider à La Fortuna pour l'organisation de nos excursions.

Puis nous roulons à nouveau pendant une heure dans une lancha pleine à craquer jusqu'à Pavona, le lieu de transfert de l'eau à la route. De l'eau s'est infiltrée dans la lancha et trempe les bagages par en dessous. Au débarcadère de Pavona, des porteurs nous aident, moyennant finances, à transporter nos bagages en haut de la pente jusqu'à l'auberge où se trouvent de nombreuses personnes qui attendent de poursuivre leur route. Heureusement, nous ne devons pas rester assis là indéfiniment, car Robert arrive bientôt avec un taxi rouge qui nous emmène jusqu'à Cariari. Là, nous changeons de voiture pour une KIA de couleur argentée, conduite par une femme blonde. Ses deux fils l'accompagnent. C'est maintenant un service Uber, moins cher que les taxis. Nous avions d'ailleurs déjà réservé ce transport à Cahuita.

Vers 14 heures, nous arrivons à La Fortuna devant notre nouveau logement.  À La Fortuna, toutes les rues sont numérotées. Milena, la maîtresse de maison, nous accueille et nous conduit à notre appartement à l'étage supérieur, au-dessus des toits de la propriété. Deux chambres avec de grands lits, une salle de bain et, devant, la cuisine dans un long couloir. Au-dessus du toit inférieur en tôle ondulée, un balcon avec vue sur l'Arenal, l'un des volcans les plus actifs.

L'après-midi, nous marchons jusqu'au centre-ville et mangeons des filets de poisson et des fruits de mer dans un restaurant qui propose une très bonne cuisine. Nous profitons de la vue sur la rue et le parc central.

La Fortuna a quelque chose. La ville est propre. Le parc central est plein de fleurs et de jeunes gens joyeux.

Traduit avec DeepL.com (version gratuite)

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