Bitterorangen-Marmelade
Zwölf kleine Bitterorangen habe ich dieser Tage von meinem, im Freiland wachsendem Bäumchen (Poncirus trifoliata) geerntet. Er hat in diesem Jahr zum ersten Mal Früchte getragen. Die höchstens Tennisball großen Bitterorangen sind in der Mitte des ersten Bildes zu sehen. Eine aufgeschnittene Frucht zeigt, dass das Innere mit vielen Kernen besetzt ist. Fruchtfleisch und Saft enthält diese Wildfrucht nur wenig. In Rezepten zur Marmelade wird deshalb empfohlen, richtige Saftorangen und auch eine Zitrone mit hinzu zu nehmen.. Die Herstellung der Marmelade ist aufwendig, lohnt sich aber allenfalls wegen des exzellenten Geschmacks.
Am Sonnabendnachmittag habe ich mich hingesetzt und erst einmal die aromatische Schale von den zwölf kleinen Früchten mit einem Kartoffelschäler abgeschält, so dünn wie möglich, denn die weiße innere Schale ist extrem bitter. Trotzdem lässt sich nicht alles vermeiden.
Die dünnen Schalen sollen danach in wenige Millimeter breite Streifen geschnitten und anschließend einige Minuten lang weich gekocht werden.
Dann habe ich das wenige Fruchtflesich aus allen Hälften der Bitterorangen vorsichtig mit einem spitzen Messer heraus getrennt, von den Kernen befreit und in eine Schale getan.
Nun waren die großen, gekauften Orangen und die Zitrone dran. Mit der Orangenpresse habe ich den Saft ausgepresst.
Zuvor hatte ich noch eine Plasteschüssel auf die Küchenwaage gestellt. Ich brauchte 1,5 Liter Fruchtsaft für 1 kg Gelierzucker. Frischsaft mit Schalenstreifen und Fruchtfleisch reichten nicht aus. Ich musste noch 750 ml hinzu geben..
Saft und Gelierzucker kamen in einen großen Kochtopf, wurden ordentlich durchgerührt und 4 Minuten lang sprudelnd gekocht.
8 Gläser konnte ich füllen und eine Gelierprobe für das Frühstück heute früh. Zwei von den Gläsern sind bereits verschenkt.
Alles Hobby und deshalb keine Arbeit.😄
Confiture d'oranges amères
Ces jours-ci, j'ai récolté douze petites oranges amères sur mon petit arbre (Poncirus trifoliata) qui pousse en pleine terre. C'est la première fois qu'il porte des fruits cette année. Les oranges amères, de la taille d'une balle de tennis au maximum, sont visibles au centre de la première photo. Un fruit coupé montre que l'intérieur est parsemé de nombreux pépins. Ce fruit sauvage ne contient que peu de pulpe et de jus. Dans les recettes de confiture, il est donc recommandé d'ajouter des oranges à jus et un citron. La fabrication de la confiture est laborieuse, mais elle en vaut la peine, ne serait-ce que pour son excellent goût.
Le samedi après-midi, je me suis assise et j'ai commencé par peler la peau aromatique des douze petits fruits avec un éplucheur à pommes de terre, aussi finement que possible, car la peau blanche intérieure est extrêmement amère. Néanmoins, on ne peut pas tout éviter.
Les fines peaux doivent ensuite être découpées en lamelles de quelques millimètres de large, puis cuites quelques minutes jusqu'à ce qu'elles soient tendres.
J'ai ensuite séparé avec précaution le peu de pulpe de toutes les moitiés d'oranges amères à l'aide d'un couteau pointu, j'ai retiré les pépins et je les ai placés dans un récipient.
C'était maintenant le tour des grandes oranges achetées et du citron. Avec le presse-orange, j'ai pressé le jus.
Auparavant, j'avais encore posé un bol en plastique sur la balance de cuisine. Il me fallait 1,5 litre de jus de fruit pour 1 kg de sucre gélifiant. Le jus frais avec les lamelles d'écorce et la pulpe ne suffisaient pas. J'ai dû ajouter 750 ml supplémentaires.
Le jus et le sucre gélifiant ont été mis dans une grande casserole, bien mélangés et bouillis à gros bouillons pendant 4 minutes.
J'ai pu remplir 8 bocaux et faire un essai de gelée pour le petit-déjeuner de ce matin. Deux des bocaux ont déjà été offerts.
C'est un hobby et donc pas de travail.😄
Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)